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Tendre l’autre joue

© Alliance Presse
Votre belle-mère vous critique, et ensuite, elle vous demande de l’accompagner chaque semaine chez le médecin! Vous bouillonnez quand vous pensez au verset: «Si quelqu’un te frappe sur une joue, présente-lui aussi l’autre». Que faire?
Sandrine Roulet

S’il est un commandement qui fait débat, c’est bien celui-ci. Pour certaines personnes, tendre l’autre joue en toutes circonstances est de la lâcheté. D’autres au contraire considèrent que c’est une «forme d’héroïsme hors de leur portée».
Dans son livre Tendre l’autre joue? (ed Farel), Frédéric de Coninck explique d’où vient cette gêne: «Au fond, la non-violence est perçue comme une attitude passive». Le sociologue et bibliste ajoute: «S’il s’agit simplement de se laisser faire en toutes circonstances, ce n’est plus une vie, je suis bien d’accord. La non-violence n’a de sens que si elle est active. Elle prend tout son relief dans le cadre d’une confrontation voulue et assumée.»

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