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Mon enfant handicapé et moi

© iStockphoto
Marjorie, Clémentine et Karyn sont toutes les trois mères d’un enfant porteur de handicap. Du tsunami émotionnel de l’annonce du diagnostic à la situation actuelle, elles partagent leur vécu.
Rébecca Reymond

«Sa qualité de vie m’importe plus que ses apprentissages.»
Marjorie et son mari ont quatre enfants. Lorsque Silas, le dernier, a 6 ans, il regresse de manière brutale, perdant la capacité de comprendre, de s’exprimer, la propreté, et la faculté de jouer. Le corps médical pose finalement un diagnostic: autisme tardif.
«Dans un premier temps, j’ai été submergée par la douleur et l’urgence de faire quelque chose: prier, supplier, courir d’un spécialiste à l’autre pour chercher des thérapies miracles», relate Marjorie. Puis, peu à peu, elle accepte le «nouveau» Silas, «un petit garçon très différent mais aimé de son Créateur». Avec lui, elle apprend le sens de la vie et du vrai bonheur: «J’ai dû ralentir et comme Silas, mettre mon identité dans qui je suis plutôt que dans ce que j’accomplis. Aujourd’hui sa qualité de vie m’importe plus que ses apprentissages», confie-t-elle.
Chaque petit progrès, sourire de Silas ou personne touchée par ce qu’il dégage est un sujet de joie pour cette maman. Qui précise que c’est certainement sa foi en Dieu qui l’aide à traverser tout cela: «Elle me donne la force d’affronter le quotidien et de garder l’espérance.»

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