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La prière a changé leur vie

La prière qui m’a portée lors d’une épreuve Joanne, 32 ans Il y a cinq ans, mon mari a fait un burn-out. Ni lui ni moi n’avons rien vu venir. Il était très occupé, mais ses activités professionnelles lui convenaient et marchaient bien. En l’espace d’une semaine, il était sur les genoux, incapable de se rendre au travail et assailli par des peurs irrationnelles. N’ayant pas encore d’enfants à l’époque, je me souviens qu’il m’a dit, les larmes aux yeux, que je ferais mieux de le quitter, parce qu’il avait l’impression de devenir fou. Qu’il fallait que je refasse ma vie. Je l’ai rassuré, lui ai dit que j’affronterais la tempête à ses côtés et j’ai attendu le soir, pour être seule. Pour pleurer à mon tour et prier. Je me souviens avoir crié à Dieu, lui rappelant que nous lui appartenions, qu’il fallait qu’il prenne soin de nous. Et là, j’ai ressenti une grande paix m’envahir, comme si Dieu me disait: «ne t’en fais pas, je contrôle la situation et je renouvellerai tes forces». Et il l’a fait. il nous a fallu de la patience, mais après six mois d’arrêt, mon mari a repris un nouveau travail. Après deux ans, il menait à nouveau une vie normale.

La prière qui m’a portée lors d’une épreuve
Joanne, 32 ans
Il y a cinq ans, mon mari a fait un burn-out. Ni lui ni moi n’avons rien vu venir. Il était très occupé, mais ses activités professionnelles lui convenaient et marchaient bien. En l’espace d’une semaine, il était sur les genoux, incapable de se rendre au travail et assailli par des peurs irrationnelles. N’ayant pas encore d’enfants à l’époque, je me souviens qu’il m’a dit, les larmes aux yeux, que je ferais mieux de le quitter, parce qu’il avait l’impression de devenir fou. Qu’il fallait que je refasse ma vie. Je l’ai rassuré, lui ai dit que j’affronterais la tempête à ses côtés et j’ai attendu le soir, pour être seule. Pour pleurer à mon tour et prier. Je me souviens avoir crié à Dieu, lui rappelant que nous lui appartenions, qu’il fallait qu’il prenne soin de nous. Et là, j’ai ressenti une grande paix m’envahir, comme si Dieu me disait: «ne t’en fais pas, je contrôle la situation et je renouvellerai tes forces». Et il l’a fait. il nous a fallu de la patience, mais après six mois d’arrêt, mon mari a repris un nouveau travail. Après deux ans, il menait à nouveau une vie normale.

À travers la prière, Dieu m’a guidée
Corinne, 38 ans, institutrice
Pendant mon adolescence et les premières années de ma vie adulte, j’étais très préoccupée par la volonté de Dieu. Pour chacun de mes choix, je faisais la prière: «Seigneur, quelle est ta volonté?». Et puis un jour, j’ai posé une énième fois cette question à Dieu concernant le choix de mon conjoint. c’est alors qu’il m’a surprise par sa réponse: «c’est à toi de choisir!». Ce n’était pas ce que j’attendais ni ce qui
m’arrangeait. Je voulais que Dieu me souffle un nom pour que j’aie la garantie d’un mariage réussi. mais assumer la responsabilité de mon choix ne me tentait pas trop. Pourtant, cette réponse m’a amenée vers une relation plus mature avec Dieu. c’est comme s’il me montrait que maintenant j’étais adulte, que je n’avais
plus besoin qu’il me materne et qu’il me faisait confiance pour faire mes choix. cela m’a procuré une assurance intérieure et maintenant, c’était à moi de me faire confiance.

La prière me transforme moi d’abord
Isabelle, 44 ans, professeur de musique
Prier est une chance extraordinaire! Parler à Dieu a toujours eu une place dans ma vie, mais ma façon de le faire a passablement évolué au fil des années. J’ai beaucoup prié pour que Dieu agisse dans mes situations. J’ai souvent reçu des réponses et souvent aussi des silences. Aujourd’hui, j’ai acquis la certitude que la prière n’est pas tant une «baguette magique» destinée à changer mes circonstances qu’une chance de me laisser transformer. cela passe notamment par une écoute silencieuse plus active, par exemple en méditant des textes bibliques, des retraites dans des lieux de prière, comme des monastères, ou encore en renonçant à trop parler. Dieu m’amène peu à peu à porter un autre regard sur moi-même, les évènements, les autres, etc.
Dans le face-à-face avec Dieu, je peux me voir dans une juste relation à lui: reconnaître mes limites, mes faiblesses et mes chances d’évoluer grâce à son amour. cela prend du temps, c’est un travail de fourmi, mais, avec le recul et la patience, je réalise les changements qu’il opère. L’encouragement est immense.

Jésus si tu es la Vérité, fais-le moi savoir
Azadé, 31 ans, médecin
Je suis née en iran et suis venue en france à l’âge de onze ans. il y huit ans, un de mes amis chrétiens me parlait de sa foi; nos discussions étaient animées mais cela ne me laissait pas indifférente. Je me disais que si Jésus était vraiment mort pour moi, je n’avais aucune excuse. J’ai rencontré un pasteur qui m’a conseillé de poser ma question directement à l’intéressé. J’ai passé une semaine en Province à demander une réponse. J’ai prié: «Jésus, si tu es la Vérité, fais-le moi savoir». J’ai fait la même chose pour mahomet. Le dernier soir, assise dans mon canapé,
j’ai été saisie de palpitations. J’ai vu un homme et ai été saisie d’une crainte sainte. Je savais que j’étais face à Dieu. L’homme m’a prise dans ses bras et a dit: «tout ce que tu as entendu existe vraiment. J’ai toujours été là avec toi et je serai toujours là». J’ai éclaté en sanglots et ai imploré le pardon du christ. Immédiatement, j’ai été guérie d’une dépression qui me tenait depuis mon enfance. quelques semaines plus tard, je me suis fait baptisée et, depuis, suis retournée en iran avec mon mari pour y témoigner du christ.

SpirituElles

Article tiré du numéro SpirituElles – Décembre 2008 à Février 2009

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