L'article
L’élégance à l’assaut des années
15.05.18 - Elles sont admirées par les jeunes alors qu’elles n’ont plus vingt ans. Quel est le secret de ces sexagénaires? Que pouvons-nous en apprendre? Deux femmes racontent leur parcours.
Dianne (en haut sur la photo)
«J’ai passé trop d’années à souhaiter être quelqu’un d’autre», assène Dianne. La phrase surprend, surtout venant d’une femme au parcours si riche: avec son mari, elle a exercé un travail pastoral et d’enseignement dans un village indien en Alaska, puis en Indonésie et actuellement en Belgique où elle enseigne la théologie. Dianne précise: «Je venais d’une situation de famille très brisée.» Elle évoque aussi la pression des normes irréalistes imposées par la société.
Se savoir spéciale
Comment donc cette femme de 67 ans, épanouie et pétillante, a-t-elle réussi à surmonter ses doutes? «J’ai réalisé que Dieu ne voulait pas que je change mon identité profonde. Non, il voulait en fait m’aider à devenir la meilleure version possible de moi-même.» C’est ainsi que Dianne a pu apprendre que «la vraie beauté d’une femme, c’est de se savoir une créature spéciale de Dieu». Et ce, malgré les difficultés: «J’ai éprouvé des chagrins massifs mais aussi des miracles incroyables. A travers tout cela, j’ai appris l’amour incessant de Dieu à mon égard.»
Adieu les émotions négatives
Derrière la beauté de Dianne se cache également de la discipline: manger correctement, faire de la gymnastique, favoriser une attitude positive fondée sur sa relation avec Dieu et contrôler ses pensées afin de ne pas se laisser envahir par les émotions négatives. «J’ai décidé il y a longtemps que, quitte à avoir des rides, autant que ce soient des rides de sourire!», ajoute-t-elle d’un ton enjoué. Interrogée sur sa vie passée, Dianne aurait aimé savoir dans sa jeunesse que «les chagrins et les désastres ne sont pas la fin de l’histoire».
(...)«J’ai passé trop d’années à souhaiter être quelqu’un d’autre», assène Dianne. La phrase surprend, surtout venant d’une femme au parcours si riche: avec son mari, elle a exercé un travail pastoral et d’enseignement dans un village indien en Alaska, puis en Indonésie et actuellement en Belgique où elle enseigne la théologie. Dianne précise: «Je venais d’une situation de famille très brisée.» Elle évoque aussi la pression des normes irréalistes imposées par la société.
Se savoir spéciale
Comment donc cette femme de 67 ans, épanouie et pétillante, a-t-elle réussi à surmonter ses doutes? «J’ai réalisé que Dieu ne voulait pas que je change mon identité profonde. Non, il voulait en fait m’aider à devenir la meilleure version possible de moi-même.» C’est ainsi que Dianne a pu apprendre que «la vraie beauté d’une femme, c’est de se savoir une créature spéciale de Dieu». Et ce, malgré les difficultés: «J’ai éprouvé des chagrins massifs mais aussi des miracles incroyables. A travers tout cela, j’ai appris l’amour incessant de Dieu à mon égard.»
Adieu les émotions négatives
Derrière la beauté de Dianne se cache également de la discipline: manger correctement, faire de la gymnastique, favoriser une attitude positive fondée sur sa relation avec Dieu et contrôler ses pensées afin de ne pas se laisser envahir par les émotions négatives. «J’ai décidé il y a longtemps que, quitte à avoir des rides, autant que ce soient des rides de sourire!», ajoute-t-elle d’un ton enjoué. Interrogée sur sa vie passée, Dianne aurait aimé savoir dans sa jeunesse que «les chagrins et les désastres ne sont pas la fin de l’histoire».
Réactions
Crédits
Illustration/Photo: © DRFacebook
éditeur

Un site
d'Alliance Presse