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Dossier, 2ème partie: Le bon réflexe d’Elisabeth face à l’inquiétude

Les inquiétudes peuvent monopoliser les pensées. Pour ne pas se laisser entraîner dans cette spirale de soucis, Elisabeth a compris que la seule manière de gérer ses inquiétudes était de se focaliser sur Jésus. « Quand un souci ou une inquiétude surgit dans mes pensées, je cherche tout de suite à me concentrer sur une promesse de Dieu », explique-t-elle.
Sandrine Roulet

Le bon réflexe d ’Elisabeth face à l ’inquiétude

Les inquiétudes peuvent monopoliser les pensées. Pour ne pas se laisser entraîner dans cette spirale de soucis, Elisabeth a compris que la seule manière de gérer ses inquiétudes était de se focaliser sur Jésus. «Quand un souci ou une inquiétude surgit dans mes pensées, je cherche tout de suite à me concentrer sur une promesse de Dieu», explique-t-elle.

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Peur pour ses enfants
Son souci principal concerne ses enfants : «Vont-ils bien ? Connaîtront-ils Jésus et est-ce que je fais tout pour ? Que va-t-il leur arriver  ?». Ces questions, la jeune maman se les pose souvent, bien consciente que son imagination prend parfois le dessus et que certaines de ses craintes sont sans fondements. Quand l’un de ses enfants est confronté à un problème médical, elle a par exemple tendance à s’imaginer le pire. Pour contrer ses pensées d’inquiétude, elle essaie alors de s’appuyer sur ce que Jésus a dit dans Luc 6 par rapport aux inquiétudes : «Ne vous inquiétez de rien. Je m’occupe des oiseaux, à combien plus forte raison je prendrai soin de vous.»

Méditer sur les promesses bibliques
Croyant que la Bible comporte une promesse pour chaque situation, elle cherche celle qui lui parle le plus en fonction de sa crainte du moment. Par exemple, toujours concernant ses enfants, elle aime se rappeler la parole d’Actes 2,39 : «Car la promesse est pour vous, pour vos enfants et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur les appellera.»
Un autre verset de la Bible l’aide aussi beaucoup : «Ne vous inquiétez de rien mais en toutes choses, faites connaître à Dieu vos demandes par la prière et la supplication, avec des actions de grâces» (Phil. 4,6). «J’ai vraiment été interpellée par les mots “ne vous inquiétez de RIEN”. Dieu n’est pas restrictif et n’a pas limité sa promesse à certains domaines de nos vies», détaille Elisabeth.

Un défi permanent
Pour elle, le défi de rester fixée sur les promesses divines est quotidien. «Je suis en chemin. Face à l’inquiétude, je perds parfois des batailles, mais je ne perdrai pas la guerre. Le Père céleste sait ce qu’il faut travailler chez chacun d’entre nous. Je lui fais confiance pour continuer à m’enseigner dans ce domaine», conclut Elisabeth.

Sandrine Roulet

SpirituElles

Article tiré du numéro SpirituElles 4-11 Décembre – Février

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