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Deux nouvelles responsables pour les «Petits Déj’»

© Alliance Presse
Rencontre avec les deux nouvelles responsables des Petits Déjeuners Contacts, motivées à poursuivre la mission d’encouragement initiée par Rita Piguet
Sandrine Roulet

«Comment parler de Dieu aux femmes dans un langage qu’elles comprennent ? Quels sont leurs besoins ? Comment leurs donner des réponses concrètes à leurs différents défis ?». Les deux nouvelles responsables de Petits Déjeuners Contacts vont s’atteler à répondre à ces différents besoins.
Rita Piguet, fondatrice de l’organisation pour la Romandie, a en effet passé le témoin à Liliane Favarger et Line Gugger, les 19 et 20 novembre à l’Institut Missionnaire et Théologique Emmaüs, à l’occasion du vingt-cinquième anniversaire de cette œuvre d’encouragement pour les femmes.

Rejoindre les femmes avec le message de l’Evangile
Liliane Favarger, 42 ans, est mère de trois enfants et suit une formation biblique. Engagée depuis dix ans dans les «Petits Déj’», Line Gugger travaille chez un vigneron et a deux enfants. Différentes mais complémentaires, Liliane et Line sont heureuses de collaborer ensemble : «Je me réjouis que Liliane ait la parole facile, car je préfère rester dans l’arrière-garde», précise Line. Liliane, pour sa part, sait que la maturité et la stabilité de Line lui seront précieuses. Parmi les défis qui les attendent, le premier est de rejoindre les femmes avec le message de l’Evangile. Par ailleurs, elles souhaitent encourager les plus jeunes à s’impliquer davantage dans l’organisation des «Petits Déj’», dont il existe dix-sept groupes en Suisse romande.

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Une aventure passionnante et enrichissante
Rita Piguet continuera à s’impliquer dans son groupe d’Yverdon et sera aussi disponible comme conférencière. De ces 25 ans au service des femmes, elle garde le souvenir «d’une aventure passionnante et enrichissante». Elle relève que plusieurs femmes se sont approchées de Dieu à travers des «Petits Déj’» et que plusieurs groupes de «Rendez-vous avec la Bible» ont vu le jour suite à ces rencontres féminines autour d’un café-croissant.
Où a-t-elle puisé sa persévérance ? «J’ai simplement fait ce que Dieu me demandait de faire», répond-elle. Mais elle ajoute que la collaboration avec des femmes de diverses Eglises l’a encouragée et stimulée, ainsi que de voir combien les groupes locaux ont pris leur engagement au sérieux.

Sandrine Roulet

SpirituElles

Article tiré du numéro SpirituElles 4-11 Décembre – Février

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