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Accueillir à sa manière

© iStockphoto
L’hospitalité se décline différemment selon son vécu et sa réalité du moment. Trois récits pour en inspirer d'autres! Dossier: L’hospitalité: devoir ou privilège?
Rhoda Bangerter

Evelyne
De nouveau seule…

«C’était beaucoup plus simple de recevoir à la maison lorsque mes enfants étaient plus jeunes. Je préparais de toute façon les repas, et avoir une ou deux personnes de plus n’était pas un problème», partage Evelyne, la soixantaine. Elle se souvient de magnifiques moments passés devant un repas, bon mais simple.
A présent, elle ne se sent plus de recevoir comme avant. «Depuis que je vis seule, je stresse d’avantage lorsque j’accueille quelqu’un que je ne connais pas bien à la maison», se confie-t-elle. Par contre, l’hospitalité se traduit toujours chez Evelyne comme une invitation à construire une relation, à partager un moment d’amitié, d’encouragements réciproques. «Une fois, lorsqu’une très bonne amie est venu chez moi, j’ai acheté un repas préparé par mon poissonnier préféré que j’ai tout simplement réchauffé à la maison. C’était délicieux et nous avons passé une excellente journée.»

Dossier: Hospitalité
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